Flavie Lavallée

Appel à contributions – L’Homme & la Société

Appel à contributions - L'Homme & la Société

Dénaturaliser l’écologie

Appel à contributions pour dossier thématique
Date de clôture : 15 octobre 2021

Résumé

L’environnement façonné par les humains engendre aujourd’hui de multiples crises. Face à leur ampleur et à leur complexité, il est manifeste que le traitement actuel de l’ensemble des questions écologiques n’est pas à la hauteur des problèmes posés. En renvoyant dos-à-dos le catastrophisme de l’effondrement imminent et les dénis de réalité qui s’appuient sur la foi dans la technique ou le progrès dans la résolution des problèmes écologiques, la revue souhaite promouvoir, hors du bio-centrisme, les analyses portant sur les principaux obstacles conceptuels, politiques, économiques, géographiques, juridiques, sociaux et culturels à la transition écologique. Le traitement de thèmes tels que le lobbying des pollueurs, les reconversions industrielles et la relocalisation de l’économie, les droits des générations futures, les mobilisations et les expérimentations collectives, les contradictions en matière de consommation, etc., sera valorisé.

Argumentaire

L’environnement n’est pas la nature mais un ensemble d’institutions. C’est l’environnement façonné par les humains, et surtout par leurs créations historiquement sédimentées, qui engendre aujourd’hui de multiples crises. Le champ concerné va des zones encore semi-sauvages mais déjà dégradées aux milieux urbains standardisés, des montagnes en dégel aux littoraux et aux mers polluées dont le niveau monte, de l’air – de plus en plus chaud et chargé de métaux ou d’oxydes – à la terre façonnée et appauvrie par l’agriculture industrielle. Il concerne aussi les risques ou désastres avérés d’ordre techno-scientifique ou sanitaire. Les pollutions et déforestations conduisant au déclin de la biodiversité, ainsi que le réchauffement climatique avec son cortège de sécheresses et d’inondations ou l’épuisement des ressources non renouvelables ne sont que des conséquences de l’activité économique et des choix politiques antérieurs. Les manières dont les actions socio-humaines ont modelé les milieux nous intéressent donc ici au premier chef. En reconnaissant cet « environnement » comme la résultante de logiques économiques et de politiques sociales, une analyse lucide de ce qui le détruit peut être tentée et d’éventuels leviers et pistes de réformes peuvent être, indirectement, suggérés. Ce n’est qu’en décrivant les tendances lourdes (même si agissent aussi des effets de conjoncture) ayant conduit à la situation actuelle que certaines d’entre-elles pourront être, sinon inversées, du moins infléchies mettant en œuvre la formule à la fois réaliste et optimiste de Foucault selon laquelle « tout ce qui a été historiquement institué est politiquement réformable ».

Cependant, l’inertie des aménagements (notamment urbains) du passé, la multiplicité et l’interconnexion des problèmes rendent difficile les réformes. Surgissent à la fois des obstacles politiques (quelles réformes sur le long terme engager dans le cadre du calendrier électoral raccourci?), économiques (quelles prévisions et reconversions pourraient permettre des ne pas détruire de nombreux emplois industriels?), démographiques (la croissance de la population peut-elle continuer indéfiniment dans un monde fini et les crises économiques permettront-elles les transitions démographiques qui pourraient stabiliser la population mondiale?), sociaux (les inégalités écologiques et sociales ne vont-elles pas croître alors que les classes populaires et les populations du Sud subissent déjà le plus les dégradations écologiques?), culturels (l’actuelle définition du confort, surtout dans les classes moyennes, peut-elle être mise en cause par de nouveaux genres de vie et de consommation?)… Enfin, la prise de conscience citoyenne et l’action « par le bas » des personnes via leurs choix de consommation ou de « mode de vie » peut-elle suffire à affronter les grands défis écologiques en tenant compte de ces différentes dimensions ?

Face à leur ampleur et à leur complexité, il est manifeste que le traitement actuel de l’ensemble des questions écologiques n’est pas à la hauteur des problèmes posés. Il est tendu entre, d’un côté, des politiques de protection de diverses espèces ou de conservation d’espaces particuliers – qui conduiront vers un « apartheid écologique » – et, de l’autre, des mécanismes économiques de nature libérale jouant sur des marchés (Principe Pollueur Payeur se dégradant en « Permis de Polluer Plus », bourses du carbone et de la biodiversité ne diminuant pas les émissions ou dégradations, incitations fiscales aux véhicules électriques qui déplaceront les problèmes, etc.). D’un autre côté, la fiscalité écologique est loin d’être générale : elle ne s’applique que très peu aux plus gros pollueurs et elle ne tient pas compte des contraintes de certaines populations captives ou dépendantes de la voiture. Quant aux normes environnementales (souvent suscitées ou mises en forme par les grands lobbies industriels), elles apparaissent à la fois trop timides pour être efficaces et en prolifération continuelle à un point tel qu’elles étouffent ou défavorisent l’activité des petits producteurs et qu’elles sont régulièrement ignorées ou transgressées (y compris par l’Etat, notamment en matière d’aménagement du territoire).

Le débat réaliste est actuellement contaminé par les climato-sceptiques aux arguments tenant fréquemment du syllogisme, et par les craintes millénaristes ou les prophéties plus ou moins hasardeuses et illuminées sur la fin du monde. La seule certitude, en matière d’effondrement, est la non viabilité socio-écologique du mode de production et de consommation actuellement dominant dans les pays les plus riches qui ne pourra, à terme, que se réformer structurellement ou s’effondrer. Cependant, à la différence des craintes millénaristes, depuis quelques années, ce sont des dizaines de scientifiques de diverses disciplines et de tous bords qui, sur des critères indépendants de l’idéologie ou de la religion, annoncent de très graves menaces. C’est pourquoi cet appel à contributions prend au sérieux lesdites menaces, mais en rejetant également, d’un côté, le catastrophisme absolu (plus ou moins éclairé annonçant le pire à court terme) et, de l’autre, le déni de réalité qui s’appuie sur l’idée de grande résilience de la nature et, plus souvent, sur la foi dans la technique ou le progrès dans la résolution des problèmes écologiques.

Axes thématiques

L’originalité des approches que souhaite promouvoir l’H&S concerne les grandes postures de la revue :

  • Anti-naturaliste : la majorité des textes sur l’écologie ou l’effondrement prônent un naturalisme plus ou moins mystique souvent éloigné des SHS et ne relevant que fort peu les causes sociales des problèmes. Le bio-centrisme ne permet pas de traiter des questions principales au cœur.
  • Humaniste : la revue considère que les humains font et défont l’histoire, ainsi que l’environnement. Seul cet anthropocentrisme assumé de l’analyse permet de chercher les voies, nécessairement politiques, d’une émancipation collective et d’une résolution des problèmes.
  • Pluriversaliste : la revue considère qu’aucune solution réelle et durable aux problèmes écologiques – les principaux sont d’échelle planétaire – ne sera trouvée sans la prise en compte des dominations Nord / Sud et de la dette écologique des pays du Nord à l’égard de ceux du Sud.
  • Critique : la revue évite d’utiliser le « nous » flou ou englobant et tente de se mettre à la hauteur des enjeux en considérant le poids des grands groupes industriels et des appareils technocratiques qui portent et accentuent les logiques productivistes inhérentes au capitalisme.

Les contributions attendues

  • Les contributions pourront questionner les grands principes et les prises de position théoriques. Par exemple, le capitalisme mondial, comme certains le pensent dans les courants marxistes ou libertaires, est-il la seule cause des problèmes ? Si oui, peut-il être structurellement « verdi » ou par quoi le remplacer et avec quelles garanties écologiques ? Quelle autonomie relative des logiques technocratiques ? Quels sont les principaux obstacles sociaux à la transition écologique ? L’Economie sociale et solidaire suffira-t-elle à endiguer les processus morbides ? Jusqu’à quel point le principe de précaution est-il applicable ? Comment est-il possible d’intégrer les droits des générations futures dans l’évaluation des actions présentes ?
  • Les contributions pourront également évoquer des questions plus précises mais transversales telles que les échanges nord-sud et est-ouest qui pourraient cesser d’impacter négativement l’environnement. Comment relocaliser l’économie et avec quelles conséquences sociales ? La préservation de l’emploi (surtout industriel) est-elle conciliable avec les exigences de protection écologique (quelles reconversions en la matière) ? A quelles conditions politiques, économiques et juridiques une politique démographique pourrait-elle contenir l’augmentation d’une population dont seul le productivisme peut étancher les besoins vitaux ? Quelles mobilisations collectives sont les plus efficaces ? Etc.
  • Enfin, elles pourront traiter de dimensions ou facettes particulières des problèmes socio-écologiques. Les Etats ont-ils les moyens de réduire la surpuissance des multinationales les plus dangereuses pour l’environnement ? Quels rapports de forces ou quels lobbies sont efficaces ou bloquants ? Quelles industries pourraient stabiliser ou réduire les émissions polluantes ? Quelle urbanisation pourrait les éviter ? Quelles sources d’énergie et quels moyens de transport seraient vraiment écologiquement durables ? Quelles expérimentations sociales sont à la hauteur des problèmes ? Quels apports et limites des expériences de frugalité volontaire en contexte de précarité et d’inégalités croissantes ? Quelles contradictions en matière de consommation : actions segmentaires, « effet rebond », non rétroactions sur les causes des nuisances ? Etc.

Cette liste n’est pas limitative. Quelles que soient la thématique, l’approche et la perspective des contributions, sont attendues des réflexions sur les conséquences sociales des processus ou des mesures évoquées. Etant donné la portée des problèmes et leur complexité, les contributions collectives et-ou pluridisciplinaires seront possibles, voire valorisées.

Calendrier prévisionnel

  • Résumés de 1000 à 2000 signes attendus pour le 15 octobre 2021. Envoi à : salvador.juan[at]unicaen.fr
  • Retour aux auteurs du 30/10 au 15/11 et demande des textes complets – relatifs aux propositions retenues – pour le 15 janvier 2022 (date butoir). Volume maximum 60.000 signes (espaces compris).
  • Examen des textes par le Comité durant le premier semestre 2022 et parution fin 2022. Toutes les propositions d’article reçues sont évaluées (anonymat garanti) par trois lecteurs, deux du Comité et un extérieur. Nous tranchons à la majorité en cas de désaccord avec d’éventuelles V2 demandées.

Coordination scientifique

Juan Salvador, professeur émérite de sociologie à l’université de Caen Normandie.

Mots-clés

anti-naturalisme, capitalisme, critique sociale, dette écologique, écologie politique, économie sociale et solidaire, effet rebond, énergie, frugalité volontaire, générations futures, lobbies industriels, politiques publiques, pollueurs

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Numéro 36-37 de terrains & travaux : « vingt ans après »

Le numéro 36-37 (2020/1-2) de terrains & travaux, revue hébergée par la MSH Paris-Saclay, est paru en novembre 2021.

vingt ans après

Numéro anniversaire

Le n° 36-37 (2020/1-2) de terrains & travaux est un numéro anniversaire publié pour les 20 ans de la revue. Il est constitué d’un dossier thématique consacré aux 20 ans de la revue, ainsi que de cinq articles hors dossier.

Sommaire :

  • Vingt ans après
    • « Avoir 20 ans en 2020 », Éditorial par le Comité éditorial
    • « Une protohistoire de terrains & travaux (1995-2005) » par Gilles Bastin, Laure Bonnaud, Olivier Le Noé, Ashveen Peerbaye et Pierre-Paul Zalio
    • « terrains & travaux, 2000-2019. Une analyse de vingt années de production » par Éric Dagiral, Ashveen Peerbaye et Caroline Vincensini
    • « Que voir ? Que faire ? Enquêter en sciences sociales avec Élisabeth Claverie et Nicolas Dodier », Entretien réalisé par Vincent-Arnaud Chappe et Milena Jakšić
  • Hors dossier
    • « Observer les odeurs, agirs sur les affects. Enquête sur la gestion des nuisances olfactives » par François-Joseph Daniel
    • « À l’ombre du Panthéon : ethnographier les sans-abri à Rome » par Pierre-Olivier Weiss
    • « L’interprétariat à la Cour nationale du droit d’asile. Lorsque le récit est transporté par la parole d’un tiers » par Anaïk Pian
    • « Les jeunes exilés face au ralentissement institutionnel. Contribution à une sociologie des temporalités » par Adeline Perrot
    • « Enquêtes statistiques et approches intersectionnelles. Considérations pour l’élaboration d’une enquête sur les violences de genre dans les Outre-mer » par Meoïn Hagège et Stéphanie Condon

Diffusion :

Ce numéro est disponible en version papier et en version électronique via le portail Cairn.

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Numéro 213 de L’Homme & la Société : « Théâtralité de la machine »

Le numéro 213 (2020/2) de L’Homme & la Société, revue hébergée par la MSH Paris-Saclay, vient de paraître !

Théâtralité de la machine

Coordonné par Florent Le Bot

Les articles proposés dans ce dossier travaillent l’analogie entre l’homme et la machine à travers notamment la littérature contemporaine et le cinéma. E. T. A. Hoffmann, Abdelkébir Khatibi, Henri Michaux, ainsi qu’un ensemble d’œuvres littéraires et cinématographiques de science-fiction sont mobilisés dans cette perspective.
La machine y apparaît non dans ses usages pratiques, en tant qu’objet technique de production, mais comme miroir des désirs, des rêves, des fantasmes et des cauchemars humains. Ce faisant, la machine participe d’un dispositif social dont l’étude permet de dégager des ressorts de violence et de domination que l’on sait à l’œuvre dans les rapports humains en général, dans ceux du genre en particulier. La femme-machine, objet de tous les fantasmes, représente ainsi l’acmé de ce dispositif.
La machine dans sa théâtralité donne à voir autre chose que des rapports de production, un imaginaire de l’efficience, de la performance et de la productivité,
de la mesure, du contrôle et du pouvoir, qui, au-delà de l’art, a participé à l’élaboration de l’idée de modernité et contribué à naturaliser le capitalisme comme industrialisme machinique.
La machine qui semble pourtant concrétiser le vieux rêve conservateur de l’homme de survivre à son obsolescence programmée, sera-t-elle en fait l’outil résolu de sa perte ? La volonté du capitalisme de se perpétuer coûte que coûte se concrétisera-t-elle au prix de notre humanité défaillante ? La créature va-t-elle échapper à son créateur ? Ce dernier va-t-il en succomber ?
L’amour est-il encore possible dans cette distanciation par la machine ?
Tant de questions au cœur de ce numéro de L’Homme & la Société.

Illustration de couverture : Photographie de Thérèse Bonney, vers 1929. Mannequin de femme portant un collier de Justin Dusausoy © Ministère de la Culture -Médiathèque de l’architecture et du patrimoine, Dist. RMN-Grand Palais / Thérèse Bonney.

Sommaire :

  • Éditorial
    • « Retrouver nos querelles » par Pierre Bras
  • Dossier
    • « Introduction. Théâtre de la machine, empire des sens » par Florent Le Bot
    • « Un genre de machine. Les androïdes féminins de la science-fiction » par Raphaël Faon
    • « La figure ambivalente de l’automate chez E. T. A. Hoffmann » par Ingrid Lacheny
    • « Le « petit-être » et les machines dans les sections « Liberté d’action » et « Apparitions » du recueil La Vie dans les plis de Henri Michaux (1949) » par Audrey Caquel
    • « De l’Homme-machine à la machine littéraire. Désir, mobilité et altérité dans Féerie d’un mutant d’Abdelkébir Khatabi » par Khalid Lyamlahy
    • « Ex Machina d’Alex Garland : Femme-machine et Fille d’Ève » par Julie Hugonny
    • « Sur le versant sombre des futurs économiques. Les mutations du capitalisme sous le prisme du cyberpunk » par Yannick Rumpala
  • Hors-dossier
    • « Droits LGBT en Colombie. L’histoire à succès d’une mobilisation par le droit (et ses limites) » par Olga L. González
  • Comptes rendus
    • « B. Hours & M. Selim, L’Empire de la morale, 2020″ par Louis Moreau de Bellaing
    • « P.-D. Clément, Animal inc. c. Adam & Ève, 2020″ par Louis Moreau de Bellaing
  • Résumés/Abstracts

Diffusion :

  • Ce numéro est disponible en version papier ou PDF sur le site de L’Harmattan.
  • Il sera également disponible en version électronique sur Cairn.info.

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ACTES N° 5 (HORS-SÉRIE) – Programme du colloque anniversaire

Programme du colloque anniversaire du 20 novembre 2019

Dans MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau, p.169-178

DOI : https://doi.org/10.52983/IGRC6531


Version numérique :


Référence de l’article :

« Programme du colloque anniversaire du 20 novembre 2019 », 2019. In André Torre (dir.), MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau (Colloque anniversaire du 20 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 169-178. Mis en ligne le 01/10/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/IGRC6531

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ACTES N° 5 (HORS-SÉRIE) – PORTRAIT DE CHERCHEURS – Célia Zolynski

Un fructueux dialogue entre droit et informatique. Portrait de Célia Zolynski

Propos recueillis par Sylvain Allemand

Dans MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau, p.161-168

DOI : https://doi.org/10.52983/SDCI3998


Version numérique :


Référence de l’article :

ZOLYNSKI Célia (propos recueillis par Sylvain Allemand), 2019. « Un fructueux dialogue entre droit et informatique », in André Torre (dir.), MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau (Colloque anniversaire du 20 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 161-168. Mis en ligne le 01/10/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/SDCI3998

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ACTES N° 5 (HORS-SÉRIE) – PORTRAIT DE CHERCHEURS – Ioana Vasilescu

La linguistique à l’heure de l’IA et des systèmes automatiques. Portrait de Ioana Vasilescu

Propos recueillis par Sylvain Allemand

Dans MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau, p.153-160

DOI : https://doi.org/10.52983/WCBN6115


Version numérique :


Référence de l’article :

VASILESCU Ioana (propos recueillis par Sylvain Allemand), 2019. « La linguistique à l’heure de l’IA et des systèmes automatiques », in André Torre (dir.), MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau (Colloque anniversaire du 20 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 153-160. Mis en ligne le 01/10/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/WCBN6115

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ACTES N° 5 (HORS-SÉRIE) – PORTRAIT DE CHERCHEURS – Antoine Nebout

Quand des économistes se penchent sur nos assiettes. Portrait d’Antoine Nebout

Propos recueillis par Sylvain Allemand

Dans MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau, p.145-152

DOI : https://doi.org/10.52983/TSEN7516


Version numérique :


Référence de l’article :

NEBOUT Antoine (propos recueillis par Sylvain Allemand), 2019. « Quand des économistes se penchent sur nos assiettes », in André Torre (dir.), MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau (Colloque anniversaire du 20 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 145-152. Mis en ligne le 01/10/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/TSEN7516

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ACTES N° 5 (HORS-SÉRIE) – PORTRAIT DE CHERCHEURS – Romain Melot

TerriBio ou comment valoriser les productions alimentaires locales. Portrait de Romain Melot

Propos recueillis par Sylvain Allemand

Dans MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau, p.137-144

DOI : https://doi.org/10.52983/BVSC2621


Version numérique :


Référence de l’article :

MELOT Romain (propos recueillis par Sylvain Allemand), 2019. « TerriBio ou comment valoriser les productions alimentaires locales », in André Torre (dir.), MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau (Colloque anniversaire du 20 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 137-144. Mis en ligne le 01/10/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/BVSC2621

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ACTES N° 5 (HORS-SÉRIE) – PORTRAIT DE CHERCHEURS – Florent Le Bot

De l’interdisciplinarité en compagnie de Durkheim. Portrait de Florent Le Bot

Propos recueillis par Sylvain Allemand

Dans MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau, p.129-136

DOI : https://doi.org/10.52983/GVVT3502


Version numérique :


Référence de l’article :

LE BOT Florent (propos recueillis par Sylvain Allemand), 2019. « De l’interdisciplinarité en compagnie de Durkheim », in André Torre (dir.), MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau (Colloque anniversaire du 20 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 129-136. Mis en ligne le 01/10/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/GVVT3502

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ACTES N° 5 (HORS-SÉRIE) – PORTRAIT DE CHERCHEURS – Catherine Geel

Une approche historique et comparative du design. Portrait de Catherine Geel

Propos recueillis par Sylvain Allemand

Dans MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau, p.121-127

DOI : https://doi.org/10.52983/CTFT1597


Version numérique :


Référence de l’article :

GEEL Catherine (propos recueillis par Sylvain Allemand), 2019. « Une approche historique et comparative du design », in André Torre (dir.), MSH Paris-Saclay : 5 ans d’interdisciplinarité sur un Plateau (Colloque anniversaire du 20 novembre 2019), Gif-sur-Yvette, MSH Paris-Saclay Éditions, p. 121-127. Mis en ligne le 01/10/2021. DOI : https://doi.org/10.52983/CTFT1597

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